Au travers de simulations d'événements solaires de type High Speed Stream (HSS) ou d'éjection de masse coronale (CME), réalisées avec le modèle IPIM contraint par des entrées électrodynamiques fournies par la chaîne de radar SuperDARN et des précipitations basées sur le modèle OVATION, nous montrerons qu'une modélisation représentative des observations sols, réalisés par des sondeurs de type radar à diffusion incohérente ou ionosonde, nécessite de prendre en compte une réponse thermosphérique qui peut être sur-amplifiée par rapport à l'importance de la perturbation au niveau de la magnétosphère et que cela peut avoir un impact significatif en terme de météorologie de l'espace, ainsi que les derniers événements ayant affectés starlink le démontrent.